Lors d’un événement de propriété de couleur blanche gardant un animal de compagnie des forces armées désormais célèbre, le chef de la direction, Donald Trump, a répété un faux point de discussion concernant la manière dont les biens présentés par Islamic Express ont finalement été récupérés sous sa présidence. Trump a identifié Conan, un chien de combat qui avait été blessé lors du raid américain fin octobre qui a conduit au décès d’Abou Bakr al-Baghdadi, le meilleur choix de votre équipe terroriste Islamic Condition. Le 25 novembre, rendez-vous visite avec la canine incorporant un court look de jardin Rose Back, vraiment agréable, où Trump a plaisanté avec les médias et Conan, qui a une responsabilité productive, a gentiment poussé le vice-président Mike Pence pour des marques de tête supplémentaires . Mais nous avons un tissu osseux à sélectionner avec un examen particulier avec le président. Trump a déclaré: «Comme vous le savez déjà, nous avons saisi 100% de votre califat ISIS. Comme j’avais pris le bureau d’affaires, nous n’avions pratiquement rien. C’était comme si ceux-ci se formaient à nouveau, et maintenant c’est à 100%. »Il n’est pas vrai que« nous n’avons pratiquement rien vécu »lorsque Trump avait eu lieu de travail. Selon les chiffres proposés par la direction individuelle de Trump, environ 50% du territoire organisé à partir de l’État islamique, également appelé ISIS, ont fini par être récupérés moins que son prédécesseur, Barack Obama. Dans le briefing du 21 décembre 2017, Brett McGurk, alors envoyé présidentiel spécial de cette coalition mondiale contre le comptoir de cuisine ISIS, a déclaré qu’environ 98% des terres islamiques avaient été récupérées par les forces de la coalition et 50% des la réhabilitation avait eu lieu en 2017. «Et considérablement, 50% de tout le territoire que l’Etat islamique a égaré, ils l’ont égaré au cours des 11 dernières semaines, car Jan», a mentionné McGurk. Environ quatre semaines juste avant l’assermentation de Trump, le commandant américain de la procédure de coalition – Merged Joint Job Push – Procedure Natural Solve – a déclaré que «près de trois millions d’hommes et de femmes et plus de 44 000 kilomètres carrés de territoire ont déjà été libérés. »D’ISIS en 2016. Cela fait près de 17 000 milles rectangulaires. Les estimations dans le territoire détenu par la condition islamique fluctuent. Les chiffres d’IHS Markit, une société de statistiques et de conseil, présentent une plus petite partie des propriétés restaurées sous Obama, mais réfutent toujours la déclaration de Trump selon laquelle la coalition pousse n’a expérimenté «presque rien» avant son inauguration. Les citations d’IHS Markit placeraient la guérison sous Obama à 33%. Autour de son niveau de janvier 2015, le califat de l’Islamic Express en Irak et en Syrie a pris en charge environ 35 000 m². un long chemin, a déclaré IHS Markit. Lorsque Trump a trouvé un lieu de travail en janvier 2017, qui était tombé à environ 23300 m2. mls.
Mois : décembre 2019
Elon Musk dézingue la SEC
Il semblerait que le patron de Tesla, Elon Musk, ait encore raté une bonne occasion de se taire. Ainsi, le CEO du constructeur de véhicules électriques a une fois encore attaqué la SEC, gendarme US des marchés financiers, lors d’une interview durant l’émission ’60 Minutes’ de CBS. « Que les choses soient claires, je ne respecte pas la SEC. Je ne les respecte pas », a ainsi affirmé Musk, privé de son poste de Président du conseil suite à l’affaire des ‘tweets’ relatifs à la sortie de la cote (depuis abandonnée) de Tesla au ‘financement garanti’. Le talentueux mais fantasque dirigeant n’a apparemment pas digéré la sanction. Incontrôlable ? De plus, Musk a indiqué hier que personne ne contrôlait ses tweets avant leur envoi, ce qui ne semble pas aller dans le sens de l’accord récent conclu avec la SEC. Musk juge que seuls ses tweets susceptibles de faire bouger les marchés financiers doivent être contrôlés, et que le reste relève plutôt de la liberté « fondamentale » d’expression. Enfin, le CEO de Tesla n’a pas exclu de faire des erreurs de ce point de vue – après tout, « nul n’est parfait », a philosophé le CEO. On espère que la SEC est dans le même état d’esprit, mais rien n’est moins sûr. Un accord humiliant ? Rappelons que le gendarme de la Bourse américaine, la Securities & Exchange Commission, avait imposé fin septembre à Elon Musk, dans le cadre d’un accord amiable, de quitter son poste de président de Tesla, tout en conservant celui de directeur général (CEO). L’accord, qui prévoyait aussi le versement par Tesla et Musk de 20 millions de dollars d’amende, mettait un terme aux poursuites de la SEC contre l’homme d’affaires. Musk, dont la communication s’est révélée erratique ces derniers mois, était accusé par la SEC d’avoir publié des tweets « faux et trompeurs », en août dernier, sur un possible retrait de la cote de Tesla, projet qu’il a finalement abandonné. Une Présidente au CV parfait Robyn Denholm a pris le mois dernier la présidence du conseil d’administration de Tesla, remplaçant Elon Musk. Denholm était jusqu’à présent directrice financière du géant australien des télécommunications Telstra, et occupe maintenant les fonctions de chairman chez Tesla. Elle quittera ses fonctions de CFO et responsable de la stratégie de Telstra après la période contractuelle de six mois. Elle sera donc par la suite présidente à plein temps du constructeur de véhicules électriques. Robyn Denholm siégeait au conseil d’administration de Tesla en tant qu’administratrice indépendant depuis 2014. Son expérience mondiale en Australie et dans la Silicon Valley inclut des rôles de direction au sein de diverses sociétés technologiques, notamment Telstra, Juniper Networks et Sun Microsystems. Elle est largement reconnue pour ses qualités managériales et a permis une augmentation significative des revenus de Juniper, supervisant la transformation de cet équipementier de réseau au cours de ses neuf années en tant que directrice financière et directrice des opérations. Son expérience comprend également de nombreux rôles en gestion financière dans l’industrie automobile chez Toyota. Pas une première pour Musk Dans une série de tweets début octobre, Elon Musk s’en était déjà pris à la SEC et aux investisseurs vendant le titre Tesla à découvert. Ces attaques intervenaient moins d’une semaine après la conclusion de l’accord avec cette même autorité des marchés financiers américains. Le CEO de Tesla avait alors qualifié l’autorité US de marché de ‘Shortseller Enrichment Commission’, autrement dit de Commission d’enrichissement des vendeurs à découvert. « Juste pour dire que la Commission d’enrichissement des vendeurs à découvert fait un travail formidable. Et ce changement de nom lui va si bien », s’était amusé Musk sur Twitter, juste après avoir accepté un arrangement plutôt favorable dans l’ensemble.